Posts Tagged “eau”
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Le pont naufragé s’enfonce peu à peu.
Le Pont Naufragé, car émergeant de l’eau comme s’il s’agissait d’une épave ayant touché le fond, disparaît peu à peu sous les eaux. En fait, c’est évidemment le niveau d’eau qui remonte. Après une vidange rendue nécessaire en prévision de la fonte estivale des neiges en montagne, le lac de Serre-Ponçon fut asséché de manière exceptionnelle. Ainsi, le viaduc de Thubaneau, situé entre les communes de Chorges et Prunières, fut de nouveau visible durant quelques jours. Cet ouvrage d’art était situé sur la ligne ferroviaire de Veynes-Dévoluy à Briançon, laquelle fut déviée sur un tronçon d’une vingtaine de kilomètres dans les années 1950 en prévision de la construction du barrage.
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Ces petites mottes sont d’étranges formations géologiques.
Les Petites Mottes, dans un recoin d’une grotte bien connue des spéléologues, St Marcel d’Ardèche, de par ses plus de 50km de développement, constituent d’étranges formes géologiques. Peu courantes en effet, dans les trous de montagne, elles sont ici nombreuses dans ce réseau. Cela est beaucoup dû à la composition argileuse des sols. Car c’est l’eau qui va transporter cet argile et le déposer sur les concrétions. Lorsque l’eau se retire et laisse l’argile qui s’est attaché aux parois, de nouvelles concrétions se forment alors. C’est ainsi qu’au fil des crues, les petites mottes vont alors se développer. Un article est d’ailleurs dédié à ces concrétions sur le site de Raphaël Charuel, photographe à Grenoble, La Boîte A2.
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Eau & piliers dans une carrière de gypse.
Eau & piliers ne font pas forcément bon ménage, surtout si la pierre est soluble dans l’eau. Si ici le
gypse est soluble dans l’eau à hauteur d’un milligrame par litre, les problèmes de stabilité sont davantage liés au retrait et gonflement des argiles. La couche de gypse dans laquelle est exploitée la carrière est surmontée d’une couche de marnes argilo-calcaires. Ces marnes sont imperméables, mais se dilatent ou se rétractent au gré des saisons. Ainsi, faisant travailler les toits, ces derniers s’effritent et finissent par tomber, ne retenant alors plus les marnes sus-jacentes qui s’effondrent avec eux. L’eau peut alors s’infiltrer à sa guise et alors former des lacs, créant ces étranges paysages souvent associés aux carrières souterraines de gypse du bassin parisien.
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Double trémie déversoir en carrière.
Double trémie déversoir dans une ancienne carrière d’exploitation du calcaire à destination de la production de ciment. Il s’agit là de la couche géologique de l’oxfordien. Cette carrière très active il y a une centaine d’années était équipée de trémies afin de déverser directement leur contenu dans un véhicule. La particularité de cette mine est de posséder plusieurs trémies doubles, comme celle-ci, permettant d’accroître le rendement. Le dispositif bien que rudimentaire est joliment ouvragé. Plus loin, on perçoit l’instabilité du secteur: des cônes de gravats se sont formés du fait d’effondrements dans les niveaux situés au dessus de cette galerie de roulage.
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Petit puisard près d’un front de taille.
Ce petit puisard éclairé s’est avec le temps rempli de glaise. Ces trous pratiqués dans le pied de carrière servaient à accumuler les eaux d’infiltration pour éviter que les chantiers ou les
hagues n’absorbent l’humidité et ne se fragilisent alors. L’état des piliers à bras laisse suggérer la compression des sols sus-jacents dans cette ancienne carrière de calcaire. Sur la droite, on en remarque par ailleurs le front de taille. Dans ce dédale reliant plusieurs anciennes exploitations accessibles par puits au cours du XIXe siècle, des travaux d’aménagement du territoire en surface ont découpé un certain nombre de petits réseaux isolés, comme celui-ci, par les injections qu’ils ont nécessités. De nouveaux puits d’accès ont alors été forés suite à ces travaux sur les carrières alors devenues « borgnes » (ce n’est pas pour rien que le puits de carrière peut parfois être appelé « oeil »!).
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La grande voûte formant la galerie d’entrée d’une grotte.
La grande voûte visible ici est naturelle. Ces formes, créée progressivement par l’érosion depuis des millénaires voit parfois passer des trombes d’eau, mais elle est la plupart de temps à sec. Cette vaste galerie de quelques kilomètres constitue l’accès à un important réseau naturel très connu des spéléologues, dans le Sud-Est de la France, aux portes des gorges de l’Ardèche. Au sol, de la terre, de la glaise et du sable sont déposés par le cours d’eau. Une
partie touristique a été aménagée dans cette grotte, elle est visitable d’Avril à Novembre.
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Deux voûtes maçonnées dans une carrière de calcaire.
Deux voûtes maçonnées dans une carrière souterraine de calcaire. Cette carrière ancienne fut exploitée dès le XIIe siècle par le mode d’exploitation dit des
piliers tournés. Les hauteurs d’exploitation, pouvant avoisiner les 5 mètres, furent atténuées par divers périodes de remblaiement lors de la réutilisation des carrières en
champignonnières. Plus tard, quand la surface fut urbanisée, ce sont des coulis d’injection qui sont venus petit à petit remblayer voire combler certaines galeries. Au cours du XIXe siècle, les premiers aménagements de surface nécessitèrent la construction de ces arches maçonnées aux endroits où la portée des ciels était trop importante. Discrètement, on remarque sous l’arche du premier plan un puits à eau, en pierres sèches, descendant jusqu’au sol d’origine de la carrière, 2 ou 3 mètres plus bas.
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Etrange haricot de pierre dans une carrière souterraine.
Etrange haricot dans une petite salle. Cette baignoire, ou plutôt ce petit bassin d’un mètre ayant une forme de haricot trône au milieu d’une forêt de
piliers à bras dans une carrière souterraine de calcaire exploitée en
hagues et bourrages. Il était courant dans les carrières de construire des bassins récoltant les eaux souterraines. Cette pratique était aussi rencontrée dans les
champignonnières, anciennes carrières reconverties pour la culture des champignons de Paris ou d’autres variétés, pour l’arrosage du compost destiné à produire les champignons. En effet, cette carrière souterraine fut réutilisée en champignonnière jusque dans les années 1950, époque où l’urbanisation a rattrapé des zones rurales et agricoles.
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Voie dans l’eau bleutée d’un bassin de champignonnière.
Une voie dans l’eau d’une
carrière de pierre calcaire. Cette eau s’écoule depuis une source karstique, et était récoltée sous pression par un bassin qui la redistribuait à la champignonnière. Depuis, cette source n’est plus canalisée et s’écoule librement. Des concrétions se sont déposés sur le coupon de voie Decauville de 60cm d’écartement, et de 5 mètres de haut. L’eau s’accumule au sol puis ruisselle où plusieurs écoulements d’eau se rejoignent un peu plus loin. La galerie plonge vers le fond à travers les piliers tournés carrés. La présence d’eaux souterraines fut un critère décisif lorsque cette carrière de calcaire fut convertie en champignonnière. La taille de l’exploitation est telle que certains quartiers servaient déjà aux cultures alors que le fond était encore exploité.
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Puits et galerie dans les carrières parisiennes.
Puits et galerie. La lumière du jour, hautement renforcée par un flash, tombe dans la galerie éclairée par les bougies. Ce genre de puits remontant, appelé couramment puits de service à échelons, est l’un des quelques 300 accès différents aux carrières de Paris. Ces carrières, exploitées en
hagues et bourrages, sont renforcées depuis la création de l’inspection des carrières en 1777.