Vers le fond, là d’où vient le vent des ténèbres, subsistent une voûte et un reste de trémie. L’effet de la pression de la montagne commence ici à se ressentir. Il subsiste en effet de robustes murages, piliers, et arches en béton, qui semblent encore résister à l’épreuve du temps. Mais dans les quartiers d’exploitation, c’est une autre histoire. Dans les environs, tout est plié, fissuré et déchiqueté. Les vides suivant le pendage des roches sont tellement chaotiques que personne n’a sû trouver d’où provenait le puits correspondant à cette trémie. Le roulage, parcouru par un courant d’air frais provenant du fond de la carrière, était équipée d’une ligne électrique de trolley, comme en attestent les supports.