Galeries pour Nains
hagues et bourrages. Si les carrières parisiennes atteignent des hauteurs à dimension humaines, celles des alentours bénéficièrent de beaucoup moins de soin dans leurs consolidations et leur surveillance par l’inspection générale des carrières. Ainsi, un mur maçonné sommaire forme un carrefour de deux galeries d’à peine un mètre de haut. Les carriers exploitaient la pierre de façon artisanale à genoux, un treuil permettait ensuite de hisser les blocs par un puits. Pour certains, ces vides étaient postérieurement reconvertis en champignonnières ou en ossuaires souterrains jusque dans les années 1930.
Galeries pour nains dans une carrière souterraine de calcaire à