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Le Coq, dans le dédale calcaire souterrain.
Ce coq, naturellement emblème de la France, fut dessiné et sculpté en bas relief durant la première guerre mondiale, et précisément à sa fin, en Juin 1918. À l’effigie du 324e Régiment d’Infanterie, son exécution tardive s’explique par le fait que la carrière souterraine de calcaire dans laquelle se situe l’abri en retrait des lignes a longtemps appartenu à l’armée allemande. Un an auparavant, c’est une retraite de cette armée qui permis aux poilus français de s’emparer de nouveau de ces carrières. Hélas, le coq peint en rouge et noir résiste mal à l’usure du temps et des vandales, monnaie courante dans les carrières de la grande guerre, des simples amateurs de sensations aux pilleurs méticuleux. C’est dans les années 1990 que des bénévoles le restaurèrent pour lui rendre un certain éclat.
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Noms écrits au noir de fumée.
Trois noms de la seconde guerre mondiale sont inscrits au noir de fumée ou à la mine de plomb sur une paroi dans une carrière de gypse. Ces noms mentionnent des officiers de trois armées: allemande, anglaise et américaine. Détail assez intéressant, le premier nom, Rommel, a été barré postérieurement, avec la mention « boche ». Cette ancienne exploitation de gypse, laissée à l’abandon dès le début des années 1930, fut réutilisée en abri destiné à la population civile d’un village lors de la seconde guerre mondiale. On y retrouve en conséquence de nombreux dessins et inscriptions dans tout le secteur. Au ciel, deux arches maçonnées « à l’anglaise » consolident l’ensemble.