Posts Tagged “galeries”
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC6673-1-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Ces galeries de mine ont été creusées dans de la roche calcaire. Or, il s’agit d’une roche qui peut difficilement encaisser de très longues portées. Pour pérenniser la galerie et ainsi exploiter sur une largeur importante, les mineurs ont ainsi utilisé des méthodes de soutènement. Ici, en l’absence de voie de roulage, ou postérieurement à leur démantèlement, ils ont placé des piliers en fonte. Utiliser de la fonte est intéressant pour ce genre de consolidations, car elles sont soumises à de grandes forces de pression. La fonte aurait été bien moins appropriée pour la confection de poutres transversales, soumises à des mouvements de torsion.
Ce carrefour de galeries, assez important, était un point de passage pour le personnel de la mine, se rendant aux quartiers d’exploitation.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC0360-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Les carriers sont de véritables artisans anonymes. Ils ont ici pu façonner un immense dédale de galeries souterraines, remarquables par les moyens de consolidation mis en œuvre. Les agriculteurs s’en allaient sous terre durant les hivers rigoureux pour extraire le gypse. Les maçons, eux, s’employaient à édifier ces arches « à l’anglaise » selon des méthodes dignes des bâtisseurs de cathédrales médiévales. C’est ainsi que ces carrières de gypse ont traversé les siècles.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC2118-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Ce galion surgissant est caché derrière un pilier tourné. Ce pilier a vu sa section élargie par un murage maçonné de moellons taillés de façon très régulière. Cette carrière de calcaire qui servait pour l’extraction d’une pierre de taille de grande qualité, s’est vu, au XXe siècle, reconvertir en vaste entreprise de culture des champignons. Depuis l’abandon de la carrière, les véhicules sont restés sur place, comme ce vieux Galion, qui par malchance, se trouvait là à cette époque…
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC2469-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Carrefour de haveuses au fond d’une carrière de calcaire.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC3790-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Escalier abondamment conforté.
Abondamment conforté, cet escalier relie deux niveaux de carrières. À l’époque médiévale et jusqu’en des temps relativement récents, les carrières de calcaires, exploitées par puits, étaient composées de galeries basses. Les techniques de consolidation étaient en effet peu sophistiquées et il était nécessaire de conforter aux bras et donc à hauteur d’homme. L’exploitation était généralement menée par hagues et bourrages. Lorsque le banc calcaire le permettait, de part son épaisseur, deux niveaux voir plus de galeries étaient exploités. Il fallait donc un moyen de communication pour permettre aux ouvrier de communiquer entre ces niveaux. Bien sûr, ces moyens étaient bien plus spartiates que ce type d’escalier, il s’agissait de simples trous d’hommes ou de puits dans lesquels une échelle en bois était placée. Cet escalier fut bâti plus récemment, à l’époque de l’inspection générale des carrières. L’organisation était chargée alors de rechercher, cartographier, et consolider les nombreux vides d’exploitations sous Paris. Les inspecteurs demandaient aux tailleurs d’indiquer chaque ouvrage méticuleusement numéroté avec les initiales de l’inspecteur en fonction. Ainsi, 48.L.1855 signifie 48e pilier édifié par l’inspecteur Lorieux en 1855. D’autres indications peuvent figurer, comme dans l’escalier au fond, la mention « fontis » fait état de la présence d’une cloche d’effondrement à cet endroit. Souvent accompagnée de la précision « R↓ » ou « R↑ », l’indication signifie que le fontis fut remblayé de la surface (1er cas), ou depuis la galerie (2nd cas).
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC6665-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Dantesque salle au coeur d’une carrière de calcaire.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC9781-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Un carrefour voûté, entièrement fait de briques, au cœur d’une mine de fer. Nous sommes dans la couche la plus profonde, appelée « couche grise », et d’ici partent plusieurs roulages. Ce carrefour voûté est unique en son genre car situé en bas d’une descenderie, de nombreuses galeries y convergent. Ces diverses galeries sont presque toutes effondrées, en effet, il s’agit là d’une couche très friable et par conséquent dangereuse à parcourir.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/d02a-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Fourche en Y dans une galerie de carrière souterraine de gypse.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC7736-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Cette subdivision de galeries est ornée de nombreux piliers à bras. Ce genre de division de piliers se nomme aussi « forêt » de piliers. Ces piliers à bras sont des empilements de pierre montées à la force des bras des ouvriers.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC_5022-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Dans cette carrière de calcaire, une grille barrait autrefois une galerie permettant la communication vers un autre réseau situé sous un fort. La galerie principale suivant une avenue, et donc située sous un terrain civil, cette grille était alors destinée à protéger le terrain militaire. Aujourd’hui, la galerie accédant au réseau sous la fortification est remblayée et effondrée, rendant la grille inutile à l’heure actuelle.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/bm12-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Un puits d’aération d’une carrière de craie. Il crée une communication entre tous les étages de l’exploitation, ayant servi de champignonnière.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/lescalier-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Cet escalier est un ouvrage remarquable des carrières parisiennes. Réalisé en 1855 sous l’inspectorat de Lorieux, il permet la communication entre deux niveaux de carrières, tous deux consolidés par des galeries maçonnées.