Posts Tagged “machines”
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Le monogramme LN, certainement le monogramme de la société qui exploitait l’usine.
Le monogramme visible ici, LN, est moulé dans la rambarde de fer forgé d’un balcon surplombant des machines. Ces statodynes et ces soufflantes font partie d’un complexe sidérurgique abandonné. Les statodynes permettaient de convertir les courants électriques alternatifs en continus. Ces courants continus permettaient alors d’alimenter entre autres les divers moteurs de l’installation, comme ceux des
skips, qui versaient automatiquement le minerai dans les fourneaux. Les soufflantes, également alimentées en courant continu, injectaient l’air sous pression nécessaire à la combustion. Le balcon au dessus de ces machines supporte un panneau de contrôle, et arbore le logo de la société qui exploitait cette aciérie.
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Poste de redressement de l’énergie électrique.
Ce poste de redressement permet l’alimentation électrique du métro parisien. Il s’agit là d’un redressement électrique, c’est à dire une transformation d’un courant alternatif en courant continu La nécessité de ce genre d’équipement est due au fait que le métro tourne sous un courant électrique continu, alors que le courant fourni par le réseau de distribution est alternatif, s’inversant 100 fois par seconde. Autrefois, et jusqu’aux années 1960 où sont apparues les diodes de redressement, de complexes machines rotatives appelées statodynes permettaient de générer ce courant continue grâce à des moteurs monophasés entrainant un alternateur. Ces machines nécessitaient donc une place conséquentes, d’où la construction de tels édifices, comme celui-ci, datant des années 1930.
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Désordre ordonné sous les rais de lumière d’un lavoir à charbon.
Un désordre ordonné, des rais de lumière tombent sur un chaos métallique. Pourtant, ce chaos est constitué de pas moins de sept lignes de traitement identiques, destinées à laver, à trier, et charger le charbon. Chaque unité de cette ligne a une fonction bien précise: décantation, centrifugeuse, tamis, crible, norias, tuyauterie, se croisent et se décroisent. Cette usine, une des plus productives de France dans son domaine, était intégralement automatique et rappelle les univers imaginaires industriels.
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La salle des machines d’une recette de mine de fer. On voit le tableau électrique de commande, la loge du machiniste et le treuil de l’ascenseur de la mine. C’est une installation commune à toutes les mines équipées de puits à ascenseur. Les câbles prennent appui sur un chevalement, imposante structure métallique située au dessus des bâtiments.