Posts Tagged “redressement”
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC1861-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154
Un Geste, un Contrôle, telle est la devise de l’opérateur se trouvant derrière un tel appareil. Ce vieux poste décrépi se trouve très loin au fond d’une ancienne mine. Il servait à redresser le courant électrique de traction des locomotives. Les sous-stations, ou postes redresseurs, étaient situés ponctuellement le long de la ligne ferroviaire: en effet, le rendement du courant alternatif est supérieur à celui du continu lors de son acheminement dans le réseau électrique. Or, les machines de mines, rudimentaires, fonctionnant au courant continu, il était nécessaire de transformer ce courant d’alimentation. C’est là l’utilité de ce genre de poste. Un lorry permettait la maintenance occasionnelle et le déplacement des lourds transformateurs; il en reste une roue au sol, encore sur son rail…
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC2032-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154
Ce poste de redressement permet l’alimentation électrique du métro parisien. Il s’agit là d’un redressement électrique, c’est à dire une transformation d’un courant alternatif en courant continu La nécessité de ce genre d’équipement est due au fait que le métro tourne sous un courant électrique continu, alors que le courant fourni par le réseau de distribution est alternatif, s’inversant 100 fois par seconde. Autrefois, et jusqu’aux années 1960 où sont apparues les diodes de redressement, de complexes machines rotatives appelées statodynes permettaient de générer ce courant continue grâce à des moteurs monophasés entrainant un alternateur. Ces machines nécessitaient donc une place conséquentes, d’où la construction de tels édifices, comme celui-ci, datant des années 1930.