Posts Tagged “tournés”
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC5799-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Ici, l’humidité et l’eau ont envahi progressivement les galeries. En cause: les multiples fontis, éboulements de grande ampleur ayant laissé l’eau s’infiltrer. Mais aussi, la fermeture des accès et des puits. Sans courant d’air, sans aérage, la présence de CO2 tend à augmenter, mais aussi celle de la condensation et de l’humidité. Or le gypse, pierre à plâtre, se dissout au contact de l’eau. Même si cette dissolution est très lente, accompagnée du poinçonnage et des contraintes des terrains sus-jacents, elle favorise la dislocation des piliers. En effet, ceux-ci se fissurent puis éclatent. Cette image met en évidence l’une des amorces de l’effet domino, effondrement cataclysmique d’une cavité sur toute une zone.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/pl08-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Cette carrière souterraine de calcaire a été exploitée selon la méthode des piliers tournés. Située sous un plateau agricole, les carriers ont creusé une galerie rectiligne en pente douce. On appelle cela une descenderie. Cette galerie d’accès est ensuite aménagée avec une voie, des installations électriques, pour permettre au personnel d’accéder aux galeries. Le haut de la descenderie, en surface, était équipé d’un treuil pour monter des wagonnets chargés, et en descendre des vides. Ici, en bas d’une descenderie, la voie, de type Decauville, de 60 centimètres d’écartement, se dédoublait dans une galerie plus large afin de desservir les divers quartiers de la carrière. Longue d’environ 300 mètres, elle permettait de compenser les quelques 40 mètres de recouvrement séparant la couche calcaire de la surface.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC8811-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Cette grande carrière de calcaire a été exploitée dans les années 1960 pour la pierre de taille. En majeure partie, ce sont des véhicules routiers qui effectuaient le transport des blocs. Pour les charger plus aisément, des zones comme celle-ci ont été aménagées dans les anciens travaux. Une estacade de chargement permettait ainsi de surélever les blocs à charger, et de les placer au niveau du véhicule à remplir. Ce moyen permettait d’économiser des forces et des machines. Les blocs extraits d’une carrière de pierre de taille peuvent varier, leur masse peut aller de celui d’un moellon, quelques kilogrammes, à plusieurs dizaines de tonnes. Si aujourd’hui ces deux poutres en bois sont complètement pourries, peut-être pouvaient elles, il y a cinquante ans, supporter le poids d’une remorque ou d’une petite voie ferrée. Elles étaient alors supportées par un talus de déblais, aujourd’hui bien tassé.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC1998-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Ce vieux camion d’avant guerre est difficile à identifier. D’abord, il est extrêmement rongé par l’oxydation: la benne est déjà abondamment trouée, le temps a rendue la tôle toute fine. De plus, les champignonnistes modifiaient souvent des véhicules pour leur seconde et ultime vie souterraine. D’abord les véhicules utilisés étaient achetés à bas coup, pour faire face à l’environnement hostile qu’est la carrière souterraine. Ensuite, il fallait adapter le camion au transport en souterrain: l’abaisser, retirer des éléments, en changer d’autres… Et bien souvent, ils étaient malmenés lors de leur utilisation. Tout ce que l’on peut en dire, c’est qu’il s’agit d’un modèle ancien, d’avant guerre, du début du XXe siècle.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/cm00-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Ce passage aménagé dans une carrière de calcaire, porte le nom de Chalibert. Sans doute est-ce le nom de l’ingénieur qui a imaginé cet aménagement. Cette carrière de pierre tendre a été brièvement exploitée au pic, à la fin du XIXe siècle. L’inscription date de cette période, elle est réalisé à la lame de plomb. L’exploitation, effectuée sous forme de piliers tournés, a laissé place à des vides, plus tard réutilisés comme caves à champignons.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/OLbIG-a5oywlkwct3jtw6hhmqtiqqh-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Petit ensemble ferroviaire aperçu au détour d’une galerie. Il s’agit d’un wagonnet-plateau Decauville et d’un dérailleur tournant en voie de 60cm. Ces wagons plats étaient spécifique au transport de la pierre de taille sous forme de blocs. La roche exploitée était du calcaire. L’exploitation, ici ancienne, était effectuée en piliers tournés. Plus tard, les éléments ferroviaires ont été démantelés pour permettre une autre utilisation des vides, celle des cultures de champignons, ou champignonnières. Entre les piliers ont pu être édifiées des cloisons maçonnées. Celles-ci maintiennent en place des déblais d’exploitations. Elles étaient généralement aménagées en fin de chantier à l’écart des roulages.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC6872-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Ce petit bassin, trou d’eau au milieu d’une chambre d’extraction en carrière de gypse de seconde masse, est en fait un ancien monte-charge. Une plateforme remontait les blocs ou le personnel depuis le niveau inférieur, en troisième masse. L’ensemble de l’installation a été retirée, comme en témoignent les traces de support au ciel. Mais le trou n’a pas été rebouché et, inondé par les eaux bleutées, laisse encore percevoir les restes d’une galerie engloutie…

Dédale champignonné dans une ancienne carrière de calcaire. Cette exploitation menée par piliers tournés a donné naissance à des vides, exploités plus tard comme champignonnières. Les cultivateurs de champignons, les champignonnistes, formaient des meules constituées de fumier de cheval, de craon (de la pierre calcaire broyée), ainsi que du mycellium. Ensuite, l’arrosage régulier, et l’atmosphère naturellement régulée des anciennes carrières faisaient le reste. Ces champignonnières sont particulièrement bien conservées, les meules ayant survécu à l’épreuve du temps et des visiteurs peu scrupuleux. On remarque au ciel des inscriptions de carriers du XIXe siècle.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC4554-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


La galerie de roulage de cette ancienne carrière de calcaire argileux se trouve en aval d’un ancien dépiler. Ce calcaire argileux servait à fournir un ciment prompt naturel. Prompt car sa prise est rapide, naturel car il résulte de la seule cuisson de cette roche à 1200 degrés. Cette carrière fut exploitée par des piliers tournés. La pierre était ensuite descendue jusqu’à cette galerie de roulage grâce à des treuils: le gisement est penté, mais son inclinaison est trop modeste pour effectuer un écoulement gravitaire des blocs. La galerie de roulage, lorsqu’elle fut abandonnée bien avant l’arrêt de l’exploitation, fut ensuite convertie en galerie de drainage, par la construction d’une cunette, en ciment, naturellement!
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC0038-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Cette carrière de gypse a longtemps permis de fabriquer un plâtre d’excellente qualité. Après son abandon, l’eau a envahi les galeries en s’infiltrant à travers les fractures et les fontis, effondrements localisés résultant d’une mauvaise tenue du ciel en un point particulier. Avec le temps, les carriers ont trouvé des solutions mécaniques pour extraire les bancs durs. De plus, la couche de gypse possède ici une très légère inclinaison. On remarque cela en s’avançant dans le lac, dont les fonds descendent très progressivement. Ici, les piliers ont les pieds dans l’eau, qui dissout très lentement les couches superficielles de leur base. Le gypse dissout se diffuse dans l’eau et dessine au gré des micro-courants des volutes à la surface…
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC1357-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Chétives, ces allumettes sont des étais de bois qui furent mises en place pour soutenir la lourde dalle de grès recouvrant les bancs de sable. Jadis érodée par l’eau, la grotte s’est peu à peu remplie de sable, qui, en durcissant avec le temps, donne le grès. Le sable est exploité notamment pour la silice, dans le but de fabriquer entre autres du verre, le grès pour la construction et les pavés. Ici, les carriers s’intéressaient à la première. C’est suite à la présence de cette dalle de grès que le sable fut extrait en profondeur. En effet, le mode d’exploitation de cette ressource est généralement à ciel ouvert. De la même manière que les carrières de roches dures, les carrières souterraines de sable sont exploitées en piliers tournés… en sable!
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC4295-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


La Croisee des roulages
La croisee des roulages est un point névralgique de cette carrière de gypse. Plusieurs exploitations ont été reprises par une grande entreprise dans les années 1920. Ainsi, l’établissement nouvellement créé a pu s’étendre au droit des anciens chantiers sur une surface considérable. De grands axes permettaient de desservir les travaux, dont deux principaux: l’un selon les directions Est-Ouest et l’autre Nord-Sud. C’est à la croisée de ces deux roulages majeurs que nous nous trouvons ici. L’endroit témoigne encore de l’intense activité extractive, cessée il y a une quarantaine d’années, par les traces de voies et les vestiges: tuyaux, câbles électriques, etc…
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/Web1_DSC9336-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Détachés, ces blocs sont prêts à quitter l’atelier.
Les carriers utilisaient leurs outils, pour définir au fur et à mesure les contours des futurs blocs, par une alternance de souchevage et défermage. À l’aide de coins, insérés dans des trous préalablement pratiqués, ils détachent le bloc avant de le treuiller. Ici, les blocs prêts à l’emploi ne furent jamais sortis de l’atelier. Les carriers laissaient d’imposantes masses de pierre afin de maintenir le ciel, que l’on appelle des piliers tournés.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC2115-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Entre deux piliers fut logée cette étrange machine.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC6736-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Dessous éventrés d’une carrière de gypse.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC6778-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Irréductible suite de piliers dans une champignonnière.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC5358-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Entre les Piliers
Entre les piliers de cette carrière de gypse est tracée l’ancienne voie de roulage. Bien que ces piliers soient quelque peu désordonnés du fait du caractère ancien de cette exploitation, la voie décrivait une courbe régulière. Comme précédemment, on remarque les traces des traverses dans le sol. On s’aperçoit que les quartiers au voisinage ont été abandonné préalablement à l’établissement du roulage: ils sont « occultés » par des cloisons en pierre sèche. Ainsi, les ouvriers aménageaient des locaux de stockage, des écuries, ou parfois des zones totalement remblayées. L’éclairage rasant et en contrejour permet de bien mettre en valeur des irrégularités, comme les traces de traverses.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC0956-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Seule sur la voie entre les piliers.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC2127-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Le Camion Fantôme
Le Camion Fantôme est un livre de littérature jeunesse. Longtemps, l’enfant fut fasciné par ce camion filant dans la nuit vers nulle part. C’est bien plus tard qu’il retrouva ce camion, aux détours des galeries d’une ancienne carrière de calcaire. Le Renault Galion est un véhicule des années 1960, significatif par sa face avant droite dans un sens, mais arrondie dans l’autre. Ici, le camion fut utilisé pour la livraison des champignons, cultivés dans les sacs à même le sol. D’ailleurs, des ornières ont été laissées pour permettre de laisser passer les roues. L’industrie des champignons a depuis longtemps périclité dans la région. À la fermeture de la champignonnière, certains véhicules restèrent entreposés sous terre, et sont alors toujours visibles aujourd’hui.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC5343-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Trois piliers dans une salle
Ces trois piliers consolident l’unique salle résiduelle d’une ancienne carrière souterraine de gypse, une chambre d’exploitation à piliers tournés. Il s’agit simplement de poutres en béton, calées par des bastaings. Le ciel de la carrière est à cet endroit assez fracturé, du fait d’une portance élevée. Cette portance, résultant d’un écartement important des piliers tournés, permettait au temps de l’exploitation le passage de l’ancienne voie de roulage, dont seules subsistent la plateforme et les traces des traverses. À gauche part justement une ancienne galerie de roulage, comblée plus loin par un effondrement. À la sortie, le gypse était transformé en plâtre par cuisson, et ensaché.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/s04-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Paysage minéral en carrière champignonnière.
Paysage minéral tout à fait intéressant présenté dans une ancienne carrière souterraine de calcaire. En effet, il est rare de trouver de tels piliers tournés dans ces anciennes carrières dont la hauteur exploitée reste faible, souvent exploitées par hagues et bourrages. Ces piliers tournés ont été obtenus au fil de l’exploitation par le percement quadrillé de galeries par les carriers, ouvriers des carrières. L’aspect est d’autant plus atypique que les galeries adoptent des portées assez importantes. Au fond, un pilier à bras renforce l’ensemble. Comme les traces au sol en attestent, ces espaces ont été investis comme champignonnières exploitées par sillons au cours des XIXe et XXe siècles.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC0795-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Jumeaux
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC9727-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Ce créneau graphique est formé par une alternance de sur et sous-creusements.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC7012-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Jours
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC2554-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Piliers et vestiges en carrière de gypse.
Comme on le voit avec la présence de meules et de sillons, et de ce tonneau qui contenait de l’eau, le lieu a été réinvesti par les champignonnistes et ce jusque dans les années 70-80.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC7974-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Une carrière à piliers tournés irréguliers.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/lb6-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154


Exploitation en quadrillé
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/h04a-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Cette flèche peinte à la sanguine indique la hauteur du pilier, ici 7 mètres 20. Il s’agit de la hauteur habituelle pour ce secteur de carrières de gypse de première masse fortement exploitées à la fin du XIXe siècle. À cette époque le travail des carriers commence à se mécaniser: on peut y apercevoir ici les trous de mines, forés à l’air comprimé, qui permettait d’insérer la charge explosive. Ce quartier de carrière est partiellement inondé, du fait de l’infiltration d’eaux de surface en sous-sol suite à des éboulements. En bas du pilier, dans les bancs durs, qui eux n’étaient pas taillés et gardaient une forme verticale, débute un écaillage pouvant annoncer un effondrement généralisé. Pour repousser ce problème, les piliers tournés sont évasés et ont été taillés en forme régulière lors de l’exploitation et sont disposés ici en quinconces, ce qui permet d’accroître la stabilité des volumes déjà fragiles dans le gypse. En bas du pilier, bien petite, en guise d’échelle, gît une chaussure, peut-être d’ouvrier champignonniste des années 1950…
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/re06-1-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

À la découverte du matériau
Les alentours de Paris regorgent d’une certaine richesse souterraine: nombre d’endroits ont vu naître des exploitation de pierre à bâtir, et ce dès l’époque gallo-romaine. L’extraction de la pierre a débuté à ciel ouvert, là où les bancs calcaires déposés peu à peu depuis des milliers d’années affleurent. Puis, avec le besoin grandissant du matériau de construction, les affleurements ne vont plus suffir, le travail en profondeur devient nécessaire. Sauf que pour qu’une exploitation soit rentable, puisque l’entreprise est bien évidemment rémunérée selon la quantité de matériau extrait, le rapport entre matériaux et stériles doit être d’une rentabilité acceptable. En effet, extraire de la pierre dans une couche dont l’épaisseur est d’une dizaine de mètres mais enfouie à 30 mètres sous des caillasses ou des sables exclut d’office la possibilité de rentabiliser ce genre d’exploitation à ciel ouvert. C’est pourquoi l’Homme va très vite commencer à creuser des galeries souterraines pour atteindre rapidement et extraire uniquement le matériau intéressant.
La couche calcaire est omniprésente dans le sous-sol du bassin parisien. Elle sera prioritairement exploitée depuis les berges des cours d’eau, pour faciliter le transport des blocs sur les voies navigables. L’accès se fait alors par des cavages situés à flancs de coteaux. Du fait d’un grand besoin en pierre de taille, certaines exploitations seront tout de même ouvertes loin des fleuves et des rivières, des puits d’accès, d’extraction ou des descenderies seront construits.
Les procédés d’exploitation du calcaire ont grandement évolué à travers le temps. Les carrières sont d’abord exploitées sous forme de piliers tournés. Le principe est simple: les ouvriers taillent la roche en tournant autour d’une masse que l’on abandonne, qui soutient ensuite le ciel. D’abord irréguliers, ces piliers donneront plus tard aux carrières la forme de damiers géants.
Du pic à la haveuse
Une carrière souterraine peut se définir par plusieurs paramètres. Son développement: c’est la longueur des galeries mises bout-à-bout. Son recouvrement: c’est la distance entre le ciel, plafond de l’exploitation, et la surface. La puissance de couche: c’est la hauteur de la couche exploitable, soit la distance entre le pied et le ciel de la carrière. Le taux de défruitement: c’est le volume de roche extrait par rapport au volume total sur lequel s’étend la carrière.
La méthode d’exploitation par piliers tournés montre vite ses inconvénients: d’abord un taux de défruitement limité, du fait de masses abandonnées qui soutiennent le ciel d’une part, mais aussi de problèmes d’effondrements, fréquents car il n’y a aucune marge permettant aux forces s’exerçant au ciel de « travailler ».
Apparaît alors une méthode fort bien adaptée aux couches offrant une puissance plus réduite: les hagues et bourrages. À partir de l’accès à la carrière, les carriers taillent de bas en haut une galerie, puis l’élargissent de la même manière. Derrière eux, ils placent d’abord des piliers « à bras ». Ces piliers sont simplement constitués de blocs, montés à la force de leurs bras. Au fur et à mesure de l’avancée du chantier, les piliers à bras sont ensuite reliés par une hague, puis les carriers remblayent progressivement l’espace derrière eux grâce à des débris d’exploitation. Les remblais sont maintenus par une nouvelle hague, et ainsi de suite. En plus d’obtenir un taux de défruitement proche de 100%, les galeries étroites offrent un maintien plus stable et ce genre de consolidation est plus « souple »: le ciel peut se fissurer, tout en restant maintenu par le tassement progressif des remblais. Le rendement d’une exploitation à hagues et bourrages pouvait être amélioré en exploitant une seule couche, comme le banc royal, couche qui servit à extraire la pierre destinée à la construction des châteaux. Cela explique la très faible hauteur des galeries, parfois 1m20.
Sous Paris, c’est cette dernière méthode qui fut intensément employée. Cependant, du fait du développement anarchique des exploitations souterraines, les cavités abandonnées ne tardèrent pas à se faire oublier. Quand l’urbanisation commença à s’étendre, il n’était pas rare d’observer des effondrements çà et là des carrières souterraines, qui ne pouvaient plus supporter le poids des constructions. C’est pourquoi en 1777 fut créée par le roi l’Inspection Des Carrières, devenue plus tard Inspection Générale des Carrières. Le rôle de cette organisation est de rechercher, inspecter, consolider et cartographier les ouvrages souterrains. Des galeries de recherche vont être creusées sous les voies publiques parisiennes et tout vide rencontré sera systématiquement comblé tout en conservant au moins une galerie permettant de circuler au sein de l’exploitation et de vérifier l’état de ces vides. Le réseau des carrières de Paris est alors né. À l’heure actuelle, c’est plus d’une centaine de kilomètres de galeries qui s’étend sous le Sud, entre 5 et 30 mètres de profondeur.
En premier lieu, le front de taille s’exploite à la lance de carrier. Une sorte de barre à mine, suspendue par une chaîne permettant un mouvement de balancier. L’ouvrier effectue des va-et-vient avec la lance, pour creuser un sillon dans une couche tendre du banc calcaire, le souchet. Ce souchevage, creusé au pic, précède le défermage, qui consiste à former deux bandes verticales, délimitant le futur bloc. L’abattage consiste à marteler sur des coins en bois placés au dessus, après avoir placé des rondins de bois permettant au bloc détaché de l’extraire. Cette extraction se fait grâce à un treuil mobile parfois appelé « crapaud », attaché par une chaîne au mur ou à un étai en bois. Ce genre de treuil peut avoir deux vitesses: l’une rapide pour dérouler la chaîne l’autre plus lente et décuplant la force du carrier pour tracter le bloc pouvant aller jusqu’à une dizaine de tonnes. Le bloc était ensuite évacué par le roulage. Le bloc au ciel est détaché grâce au coin et maintenu par un cric de carrier, celui du dessous est détaché et levé grâce à une pince.
Le travail au pic et à la lance a permis de développer les carrières à piliers tournés aux abord de Paris. Au fil du temps, ces exploitations ont acquis une grande ampleur et la disposition de ces piliers est devenue de plus en plus régulière, formant de longues et larges avenues rectilignes à l’image du Paris d’Haussmann.
Après la seconde guerre mondiale, le travail du carrier est mécanisé. L’invention du fleuret rotatif puis de la haveuse permettent un rendement bien meilleur. Cette dernière est une sorte de tronçonneuse à pierre. Aujourd’hui, c’est toujours grâce aux haveuses que sont exploitées les carrières de calcaire.
Transporter les blocs
Les premières méthodes de transport de la pierre étaient bien sûr les charrettes tirées par des chevaux. Au cours du XIXe siècle le meilleur moyen de déplacer les blocs s’impose comme étant le chemin de fer. Des wagonnets sur voie étroite comme ceux inventés par Decauville dans l’agriculture betteravière se révèlent pratiques: guidés, il suffit de un ou deux hommes ou un cheval pour les déplacer. Des voies de 40 à 60cm d’écartement sont installées dans les carrières, pouvant être assorties d’aiguillages, de plaques tournantes, ou de dérailleurs. Ces dispositifs permettaient d’orienter les wagonnets, qui étaient plats pour transporter des blocs, ou à benne basculante pour déplacer des remblais, des moellons ou des gravats. D’abord très artisanal, le système va rapidement se développer et évoluer, jusque dans les années 1950, décennies à partir desquelles seront préférés de gros engins comme les chargeuses. Certains wagons, à l’instar de ceux utilisés dans les mines, étaient à benne fixe. Appelés aussi berlines, ce genre de véhicule était vidé à la sortie de la carrière par un culbuteur: un cylindre qui en tournant sur lui-même retournait le wagonnet.
Des reconversions
Une fois les vides débarrassés de leur pierre, ils pouvaient connaître d’autres utilisations. La plus répandue était bien sûr la champignonnière. D’une température et humidité propices et constantes, les carrières étaient parfaitement adaptées à la culture des champignons de Paris ou des pleurotes, ou encore des shiitaké. Le principe consiste à broyer du calcaire grâce à un concasseur: une roue tourne et entraîne des marteaux. Ce craon est mélangé à du fumier et du mycélium. Cette mixture était déposée d’abord sur des meules ou des plates-bandes, puis sur des sacs ou des étagères pour les cultures ayant subsisté jusqu’aux années 1980. Du fait de la concurrence étrangère, de moins en moins de champignonnières sont en activité dans les carrières de région parisienne. Il est à noter d’autres utilisations: de nombreuses carrières parisiennes ont été reconverties en brasseries, ou en chais à vins, ou encore en mûrisseries, en endivières, …
Certaines exploitations connurent des réutilisations bien moins reluisantes… Le calcaire est une roche résistante, et la profondeur de ces carrières est propice à la création d’abris souterrains. Ainsi, la première guerre mondiale fut un exemple remarquable de guerre souterraine, du fait de la présence immédiate de très nombreuses exploitations de pierre à bâtir sur toute la longueur de la ligne de front. De plus, des tunnels furent creusés par les armées afin de relier ces carrières directement aux tranchées, créant alors un complexe réseau de galeries souterraines. Des lieux de culte sommaires y étaient aménagés, dont on retrouve parfois l’autel. Il pouvait même y avoir une installation électrique, celle-ci dépendant toutefois du grade de ses occupants. Ces cachettes avaient toutefois leurs limites, car le chauffage de ces lieux les nuits d’hiver provoquait la fonte des neiges sus-jacentes, transformant alors la carrière en cible de choix pour l’aviation ennemie…
D’autres, enfin, plus modernes, ou plus étendues, furent réquisitionnées par la Wehrmacht dans les années 40. Hormis un quartier général sous Paris établi dans les anciennes carrières, les grands volumes des carrières du bassin parisien permettaient l’installation d’usines souterraines. Ces usines construites par l’organisation Todt avaient pour mission de fabriquer les missiles V1 et V2. Certaines carrières de craie, ou de gypse, furent aussi concernées. Un réseau très organisé existait qui répartissait les usines de construction et les usines d’assemblage. Plusieurs d’entre elles existent donc dans des carrières du bassin parisien. Fort heureusement, les bombardements alliés dès 1944 n’ont pas permis au projet de se terminer. Il existe cependant des carrières où l’assemblage et le lancement des V1 a réellement eu lieu. De ces usines, il ne reste que les entrailles de béton. Des fusées ou des machines il ne reste rien, ou peut-être sous les décombres; la plupart ayant été détruits ou récupérés par les alliés lors de la découverte de ces bases.
Encore aujourd’hui, ces anciennes carrières forment de gigantesques espaces vides, dont les hauteurs sous ciel peuvent varier de 1 à 15 mètres. Si les champignonnières ont massivement été délocalisées vers d’autres pays européens ou vers l’Asie, des agriculteurs locaux tentent de continuer à faire vivre ce patrimoine, comme c’est le cas à Méry ou près de Soissons. Des associations gèrent également des réseaux de carrières souterraines de calcaire, à Paris ou ailleurs. On peut citer par exemple la SEADACC, l’OCRA, et Carrières-Patrimoine.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC_9777-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Dans une carrière de gypse de taille réduite, une curiosité est présente et d’ailleurs la seule dans cette exploitation. Une grosse citerne, suspendue telle une marmite au ciel par des chaînes. Cela constituait un réservoir d’eau pour les cultures de champignons, qui étaient probablement effectuées en casiers.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/bl04-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Dans cette carrière, les piliers sont bleus du fait des dépôts de sulfate de cuivre, la bouillie bordelaise, faits lors de son exploitation en tant que champignonnière. Ajoutez une lampe à acétylène et la lumière du jour… Voici une ambiance polychrome.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/3c10-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Cette carrière de calcaire, reconvertie au cours du XXe siècle en caves de culture des champignons, montre ici des piliers sveltes. Cette chambre a été exploitée sous forme de piliers tournés, une technique où les ouvriers tournent autour d’une masse qui ne sera à priori jamais retirée. Ici, ce sont de fins piliers qui ont été laissés, pour permettre une extraction maximale. La faible section de ces piliers est possible grâce au recouvrement peu épais de la carrière.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/DSC8888-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Cette carrière de gypse, reconnaissable à ses piliers évasés, fut convertie en champignonnière qui fonctionna jusque vers les années 1950, de façon très intense. Nous sommes situés au bout d’une lentille de gypse exploitable, à l’extrémité d’une butte témoin, ce qui donne une puissance considérablement réduite, d’où la faible hauteur. Les sillons de champignonnistes suivent le tracé des galeries, dont les piliers sont organisés en quinconces, réduisant les forces de pression au niveaux des carrefours de galeries.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/f08-1-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Dans une vaste carrière de calcaire, il existe un quartier présentant une belle série d’arches maçonnées. Celles-ci datent d’avril 1895 et sont signées par le même architecte. Elles soutiennent le ciel en s’appuyant chacune sur deux piliers tournés massifs.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/f6-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Dans l’ancienne carrière de gypse, les galeries s’effondrent inexorablement. L’eau s’infiltre, accentuant le phénomène de dégradation des piliers, supports indispensables des grands volumes qu’ils donnent. Il se forme alors un particulier paysage, un lacs entouré de sa bucolique berge…
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/be08-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

C’est une ancienne carrière de calcaire convertie en champignonnière. Ici étaient autrefois cultivés des champignons de Paris dans des sacs plastiques où étaient disposés le craon, calcaire broyé, et le fumier mélangé au mycélium. Les piliers tournés réguliers sont agrémentés de poutres métalliques permettant de renforcer la galerie. Au milieu des sacs, il reste un fragment de voie Decauville de 40cm, attestant du caractère industriel de l’endroit.
Warning: getimagesize(https://infraordinaire.com/wp-content/uploads/cv16-370x310.jpg): failed to open stream: HTTP request failed! HTTP/1.1 403 Forbidden in /home/photocha/infraordinaire/wp-content/themes/portfolio-gallery/inc/front/WDWT_front_functions.php on line 154

Chambre d’extraction du gypse dans une plâtrière. L’extraction s’est faite par piliers tournés. Les piliers sont évasés, afin de diminuer la portance du ciel. Au sol, on remarque la trace d’une voie ferrée. Cette galerie devait donc être un roulage de la carrière. Les volumes ne sont pas très élevés, il s’agit d’un des rares vestiges de chantiers accessibles.